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Circuler en voiture à Nantes : pourquoi ça ne passe plus1 |

Circulation sur le pont Anne de Bretagne à Nantes. © Photo Presse Océan-Simon Torlotin
Presse Océan a décidé de refaire le point sur la problématique des embouteillages à Nantes dans le cadre d’une nouvelle rubrique intitulée « Circuler à Nantes ». On vous explique pourquoi.
C’est la goutte d’eau
. L’expression est à la mode en région nantaise depuis l’annonce de la fermeture annuelle, à compter d’avril 2024 du pont Anne-de-Bretagne. Le temps, notamment, d’y faire passer le tramway.
Maudits embouteillages : à 8 heures du matin, un automobiliste va mettre 21 minutes de plus qu’en heures creuses pour rejoindre le centre-ville depuis la périphérie (données de l’agence d’urbanisme nantaise AURAN, décembre 2022).
Pour ne pas manquer l’heure de l’embauche ou un rendez-vous en ville, les usagers de l’automobile savent qu’ils vont devoir modifier leurs habitudes.
Un rendez-vous régulier
Dans ce contexte, Presse Océan a décidé de refaire le point sur cette problématique de la circulation à Nantes, en allant à la rencontre des personnes qui viennent en centre-ville avec leur voiture si décriée. Comment vivent-ils ce traitement, comment s’organisent-ils ? Vont-ils avancer ou reculer leurs horaires ? Vont-ils déménager ?
Cette série d’articles s’adresse aussi aux aficionados de la marche à pied, de la bicyclette et des nouveaux modes de déplacement.
Notre dossier Circuler à Nantes
reviendra de manière régulière dans votre journal, permettant à chacun de s’exprimer en racontant son quotidien. Pour nous écrire, utilisez notre adresse mail redaction.web@presse-ocean.com ou nos réseaux sociaux en mentionnant le thème du dossier.
À lire :
- Dans les bouchons du pont Anne-de-Bretagne
Embouteillages , des gens qui maintenant habitent autour de Nantes devenu trop onéreux pour y vivre, n'ont plus de médecins et de spécialistes dans les cliniques souvent à l'opposé de la ville....., il y a le télétravail qui simplifie les déplacements inutiles et stressants. Un manque de confiance pour beaucoup dans les transports en commun, des horaires à la carte dans les collèges, les lycées et les facs, les grosses métropoles sont toutes à cheval sur les rivières et subissent les mêmes engorgements à toutes heures. Il est beaucoup plus agréable de vivre dans les campagnes si on accepte de faire revenir des commerces de proximité, des cabinets médicaux, des écoles ,des administrations à dimensions humaines, et plus de besoin de se faire livrer les repas , les colis par des gens à vélo, en scooter ou en fourgonnette polluante qui bossent pour presque rien comme des esclaves. Il faut supprimer la circulation des voitures comme à Strasbourg, Londres où il faut payer pour s'y déplacer.