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Après la démission du maire de Saint-Brevin, le préfet et le sous-préfet dans la tourmente1 |

Norbert Samama, maire du Pouliguen, référent départemental sur la question des violences faites aux élus. © Photo archives Presse Océan
Après le séisme provoqué par la démission de Yannick Morez, maire de Saint-Brévin, des élus dénoncent le manque de soutien de l’État dès lors qu’ils font l’objet d’attaques ou de menaces sur les réseaux sociaux.
L’onde de choc ne retombe pas, l’orage continue de gronder. La démission de Yannick Morez, maire (divers droite) de Saint-Brevin dont le domicile a été la cible d’un incendie criminel, alors que « sa » commune était le théâtre de manifestations d’extrême droite visant à protester ...
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Rectificatif: la commune de Saint-Brévin n'était pas le lieu de manifestations d'extreme droite (le mot à la mode) mais de citoyens "ordinaires" contre ce projet mal venu. Se sont mélé à ces manifestations des extrémistes de gauche et de droite venus de l'extérieur. Par ailleurs, faire la sécurité rapprochée d'un Maire représente plus de 10 policiers à plein temps. Ce n'est pas envisageable pour chaque "petite" affaire. Meme Charlie-Hebdo n'en avait pas autant.